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SONGE 
Trop de regrets dans une vie si terne 
Trop de volets dans une ville si terne 
Trop de béton et de goudron 
Trop d’illusions et de déceptions 


Des espaces verts qui disparaissent 
De la verdure en clôture 
Des pleurent, des larmes juvéniles 
PENSONS UN PEUT A NOTRE FUTUR

Mets tes mains sur mon cœur 
Tu vois un peu comme j’ai peur 
Trop d’océans qui sont pollués 
Trop d’oiseaux qui sont mazoutés